De Comptable dans la grande distribution, à Comptable-Contrôleur de Gestion dans un grand club sportif.
J’ai eu envie d’aller de l’avant pour mieux rebondir !
Comptable dans la grande distribution depuis 25 ans, Fabrice a profité du plan social de son entreprise pour rebondir et devenir Comptable-Contrôleur de Gestion au sein d’un grand club sportif.
Aller de l’avant grâce à un PSE
Après 25 ans au sein de la même entreprise, Fabrice avait fait le tour de son poste. Il ne s’épanouissait plus, malgré des missions annexes qui lui permettaient de diversifier son quotidien. « Comme beaucoup, je pensais à changer de travail avant qu’il ne soit trop tard. Mais, le quotidien et sa routine (et une certaine sécurité !) prenaient le dessus. »
A l’annonce en 2017 d’un plan social au sein de son entreprise, Fabrice a traversé plusieurs phases : surprise, déception, frustration, colère, rancœur, puis l’acceptation : « j’ai finalement accepté la situation et j’ai eu envie d’aller de l’avant pour mieux rebondir » indique Fabrice.
Un accompagnement vers la mobilité externe qui redonne confiance
Le compte à rebours était lancé. L’échéance du PSE prévue pour mai 2019, Fabrice avait 2 ans pour se préparer. Durant ces deux années, il a été accompagné par Anna, consultante en mobilité professionnelle chez Alixio Mobilité.
Après un premier échange pour faire connaissance et apprendre à se faire confiance, ils ont commencé le travail. Rendez-vous hebdomadaires, appels téléphoniques, bilan de compétences… rien n’a été laissé au hasard. « Le travail effectué par Anna a été primordial, énorme, très valorisant et enthousiasmant. Jusque-là, je percevais mon horizon professionnel comme restreint, fermé. Mon métier et mon rôle avaient été dévalorisés durant toutes ces années. Mais Anna a su faire ressortir le positif de mon expérience ; elle a valorisé toutes mes missions annexes pour mettre en avant des compétences que je ne soupçonnais pas. Et surtout elle m’a redonné confiance ! Elle a mis en avant mon savoir-être, sans négliger mon savoir-faire » explique Fabrice.
Un cheminement riche et constructif
Ensemble, ils ont envisagé différents projets professionnels. Ils ont travaillé sur le CV de Fabrice et Anna l’a épaulé dans sa préparation aux entretiens d’embauche. Ils ont ensuite resserré les champs d’investigations et Fabrice s’est focalisé sur deux pistes : continuer dans son domaine professionnel ou changer totalement de profil et s’orienter dans le recrutement et l’accompagnement de candidats.
En parallèle, Fabrice a répondu à plusieurs annonces d’emploi pour « se tester ». Il a aussitôt décroché trois entretiens. De fil en aiguilles, avec l’aide d’Anna, un entretien a matché ! Il a démarré en tant que comptable dans un grand groupe commercial. Mais, n’étant pas un pur comptable, il s’est rapidement ennuyé. Il a donc recontacté sa conseillère pour un entretien informel. Lors d’un déjeuner, il lui a exposé sa situation et ses doutes. « Sur le set de table, Anna a dressé 2 colonnes, les pour et les contre. « A toi de jouer maintenant ! » m’a-t-elle dit. A l’issue de ce déjeuner, j’avais pris ma décision : je démissionnais de mon nouveau poste » se souvient Fabrice.
Ils ont repris le travail de recherche, d’introspection, puis une nouvelle offre s’est présentée : un poste de contrôleur de gestion qui plaisait beaucoup à Fabrice. Il impliquait plus de prise de risques, mais aussi moins de routine. Et surtout, l’entreprise qui recrutait était dans un secteur que le candidat affectionne particulièrement : le sport.
Une collaboration qui a porté ses fruits
Aujourd’hui, Fabrice est Comptable-Contrôleur de Gestion dans un grand club sportif professionnel. Il s’épanouit dans ses nouvelles missions et l’ennui n’est pour lui qu’un lointain souvenir. Les journées sont bien remplies et aucune ne se ressemble.
« Je remercie Anna pour tout le travail effectué, pour son suivi et surtout pour cette relation d’écoute, d’aide et de confiance. Elle m’a littéralement remis sur les rails et m’a redonné confiance. Aujourd’hui, grâce à son aide, je n’ai plus peur de demain. Si ça ne marche pas dans mon nouveau poste, je sais que je peux rebondir. Anna a mis en avant mon savoir-être et je sais que ça représente un passeport pour la vie » conclut Fabrice.
Le conseil de Fabrice
« Je conseille cette démarche d’accompagnement à toute personne qui a un doute et qui cherche à prendre un nouveau départ dans sa vie professionnelle. »
Candidat accompagné et conseillé par Anna Borawska, Consultante en Mobilité Professionnelle Alixio Mobilité en région Nouvelle Aquitaine.
De Directeur Business Development Senior dans l’industrie pharmaceutique, à Directeur des Opérations et de la Stratégie dans une ONG à Genève
Il faut avoir envie d’oser !
Directeur Business Development Senior au sein d’un leader de l’industrie pharmaceutique, Rudi a évolué pendant près de 20 ans dans ses fonctions. Suite au Plan de Départ Volontaire mis en place dans sa société, il a souhaité saisir cette opportunité d’évolution professionnelle et de mobilité externe !
Mobilité externe : de l’industrie à l’ONG
Rudi a travaillé près de 20 ans auprès d’un leader de l’industrie pharmaceutique à Lyon. Il a évolué dans cette structure jusqu’au poste de Directeur Business Development Senior. « Jusqu’à faire prendre un virage à ma carrière » explique-t-il. Son entreprise ayant été rachetée par un groupe européen, s’il voulait continuer à évoluer dans sa structure il lui faudrait donc délocaliser son noyau familial. Loin de lui faire peur, cette opportunité lui a plutôt ouvert les yeux sur « le monde extérieur ». Si cette opportunité se présentait, alors d’autres devaient aussi exister. Il s’est donc montré ouvert à une mobilité externe. « C’était une décision pas forcément facile à prendre, mais salutaire. Aujourd’hui je suis au comité de direction d’une ONG à Genève qui fait de la recherche médicale et qui développe des traitements pour les maladies et les populations négligées. »
Un objectif différent, une même volonté
Rudi travaille aujourd’hui en tant que Directeur des Opérations et de la Stratégie de l’ONG, principalement composée de scientifiques et de chercheurs. Dans cette organisation, il s’occupe des fonctions qui permettent aux chercheurs de faire leur travail : les fonctions de business développement, finance, RH, informatique, juridique. Il est également en charge de la stratégie globale de l’organisation. « C’est un peu une synthèse de tous les postes que j’ai eu précédemment dans l’industrie que je connais le mieux : l’industrie pharmaceutique. Mais avec une finalité qui est assez différente, car l’objectif n’est pas de faire du profit mais de sauver ou améliorer la vie des patients souvent négligés par l’industrie, qui sans cela n’aurait aucune possibilité de traitement ». Dans ce nouveau poste, Rudi relève aussi de nouveaux challenges pour lui-même puisque c’est un poste de décisionnaire et de management large, au sein du Comité de direction de l’organisation.
« Il ne suffit pas de vouloir quelque chose. Il faut aussi être bien équipé et entouré pour y arriver. »
Pour opérer cette évolution de carrière, Rudi a été accompagné « Le coach m’a aidé à identifier le fait que, si je devais quitter mon employeur, ce serait probablement pour viser un poste dans une structure plus petite, plus agile, ne pas repartir dans un grand groupe, changer de dynamique, ne pas juste faire la même chose dans un environnement similaire. Je souhaitais trouver une opportunité me permettant d’avoir un poste avec plus de responsabilités, plus de prises de décisions, plus d’actions ». Après plusieurs entretiens et opportunités, celle de l’ONG s’est finalement concrétisée car elle remplissait la plupart des critères que Rudi et son consultant avaient mis en exergue. Et la « cerise sur le gâteau » : la dimension humaine de l’organisation. « Je ne l’avais pas envisagé au départ puisque je pensais au mieux rester dans l’industrie pharmaceutique. Le domaine humanitaire ne faisait pas partie de mon univers et donc du champ des possible, comme quoi on se fixe souvent ses propres limites. Ce poste allait donc au-delà de mes attentes » indique Rudi.
Le travail de fond réalisé en amont a permis à Rudi de savoir ce dont il avait besoin, envie et ainsi de mieux détecter la chance qui s’offrait à lui au travers de ce poste et ainsi de s’y investir de façon sereine. « L’accompagnement a été une manière de tester mon projet personnel et de m’assurer que je n’avais rien mis de côté, où que dans tous les cas je m’étais posé les bonnes questions, que je n’avais pas d’angle mort. Il ne suffit pas de vouloir quelque chose. Il faut aussi être bien équipé pour y arriver ».
Le petit plus ? C’est le moment où Rudi, de nature à avoir quelques doutes, a pu enfin se dire « « Ça y est, mon projet est réalisable ! »« . Lors d’un rendez-vous avec son consultant en mobilité professionnelle, celui-ci lui a indiqué avoir travaillé pour des ONG et donc avoir côtoyé certains des collaborateurs de son futur employeur. Il a pu le rassurer sur la très bonne réputation de l’ONG, connue pour être rigoureuse, avec des gens solides. En faisant un nouveau point sur le parcours et les compétences de Rudi par rapport à cette proposition, le consultant a pu le rassurer sur la cohérence de ce poste et sa capacité à relever les défis proposés.
Mobilité externe et crise sanitaire
Avec une prise de poste en tant que Directeur des Opérations il y a moins d’un an, la crise sanitaire a changé la donne. La proximité avec ses équipes a été bouleversée et la situation a été compliquée à gérer. « Il faut rester au contact très étroit avec ses équipes. Il faut avoir d’autant plus d’attention au bien-être et à la surcharge mentale. Celle de ses équipes et la sienne aussi. Car c’est un mode de fonctionnement auquel on n’est pas habitué et on a vite fait de se laisser happer par les conférences téléphoniques qui s’enchaînent. Rester assis 10 heures d’affilées derrière l’écran sans bouger. Mine de rien au bout d’un moment c’est extrêmement usant et fatiguant pour le corps et pour l’esprit. Lorsqu’on est fatigué on gère moins bien les rapports humains. Cela peut vite devenir une spirale compliquée. C’est un point d’attention. »
Un bilan positif
Aujourd’hui Rudi se sent bien dans son nouveau poste : « Je me sens légitime. Je me sens respecté. Je me sens très sollicité. Je ne me sens pas encore complètement établi dans le sens où cela fait moins d’un an et il y a eu la crise du Covid. Au niveau de mon positionnement, de mes attentes à ce poste je me sens bien et extrêmement motivé ».
Ses conseils pour opérer une mobilité externe
Il faut clarifier ses envies et ses ressources avant d’opérer une mobilité externe. Définir le périmètre des éléments, qu’ils soient professionnels ou périphériques, par rapport à la famille, à la localisation. « Je pense qu’il faut se faire aider pour arriver à définir ses souhaits, ses envies et aussi ses limitations et être aussi très lucide par rapport à cela. Le mieux me paraît d’avoir un accompagnement pour ça. Avoir une personne en face qui n’a pas d’enjeu, c’est le meilleur moyen de mettre en évidence là où on a des risques de se raconter des histoires et là où on a des vrais souhaits, envies, je pense que c’est utile de se faire coacher et de tester son projet, tester ses idées avec quelqu’un d’extérieur. »
Oser, s’ouvrir, avoir envie d’oser : « Il y a plein de choses à faire, des choses auxquelles on n’a jamais pensé car on n’a jamais été mis en situation de devoir y penser. Surtout lorsque l’on est dans des grandes entreprises, qui s’occupent plus ou moins bien de nous et quelque part un peu caché derrière la forêt de l’organisation. Quand on regarde ce qui se fait à l’extérieur, il y a plein de choses ! Si on a un peu de ressources et de volonté…il y a des choses à faire. Il ne faut pas se sentir prisonnier de là où l’on est. Il faut avoir envie d’oser. »
Candidat accompagné et conseillé par Emmanuel Girard,Consultant en Mobilité Professionnelle – Alixio Mobilité en Région Auvergne-Rhône-Alpes.
De Responsable régional BtoB à Co-gérant d’une agence de communication
Ce qui était une passion à l’époque est devenu aujourd’hui mon métier !
Responsable Régional dans un univers dédié aux professionnels, Jean-Philippe a profité d’un plan de départ volontaire dans son entreprise pour faire de sa passion son nouveau métier. Il est aujourd’hui co-gérant d’Ateepic – Laboratoire d’idées, agence de communication dans la région de Clermont-Ferrand. Récit d’une reconversion atypique !
Un nouveau métier sur-mesure
« Depuis tout petit, j’ai une attirance pour la publicité, l’image, et la communication en général. Designer de formation, j’ai rapidement « testé le terrain » en m’installant autoentrepreneur dans le domaine, en parallèle de ma carrière dans la grande distribution. » Jean-Philippe élargit, avec les années, son réseau dans ce secteur et sur le chemin, est amené à faire de belles rencontres, dont celle qui est aujourd’hui son associée ! « On savait où on allait et dans quelle direction on voulait avancer ! Forte d’une expérience de plus de 25 ans dans des agences importantes, elle m’a apporté l’expertise qui me manquait. Nous basons aujourd’hui notre association sur une forte complémentarité » précise-t-il.
Un changement de cap
« Mon entourage a également joué un grand rôle dans mes choix ! Conscients d’une lassitude grandissante dans le poste que j’occupais, ils ont participé grandement à ma prise de décision. » Depuis ce changement de cap, le nouveau métier de Jean-Philippe consiste à accompagner les entreprises et les professionnels dans leur communication. Qu’elle soit à destination de leurs clients ou de leurs collaborateurs. En print (documents papiers) ou en digital (sites web, réseaux sociaux…). « Ce que je préfère, c’est accompagner des entreprises en création, car nous avons le sentiment de nous associer concrètement aux projets de nos clients. Nous devenons acteurs de leur succès. Du naming, en passant par la création du logo, des éléments d’identité visuelle, cartes de visite, site internet et documents commerciaux, nous sommes présents dans toutes les étapes. » Ce qui était une passion à l’époque est devenu aujourd’hui son métier ! Passionné de photographie depuis de nombreuses années, il peut également proposer cette prestation complémentaire à ses clients (photos d’architecture, packshots, portraits…).
Se questionner et être accompagné avant d’agir
« Alixio Mobilité m’a aidé à me poser les bonnes questions, même celles qu’on n’a pas forcément envie de se poser quand on est d’un naturel fonceur et qu’on a pris notre décision. C’est important d’avoir un avis extérieur ». Conscient de ses atouts et à l’aise avec son projet, Jean-Philippe a un profil créatif « par définition, tout ce qui concerne les chiffres et la compta, ça m’ennuie ». Grâce à cette période de transition, et en étant bien accompagné, il a réussi à se poser les bonnes questions, à prendre en compte les impondérables et à savoir y faire face. « Aujourd’hui, j’ai mûri sur ces points et le fait de devenir entrepreneur implique une palette de responsabilités auxquelles on ne pense pas forcément en décidant de faire le grand saut ».
Un pari gagnant !
Quelques mois après le lancement de leur activité, Jean-Philippe et son associée ont remporté la consultation pour réaliser toute la communication visuelle de la foire internationale de Clermont Ferrand. Les organisateurs ont été tellement satisfaits du travail réalisé qu’ils ont décidé de faire directement appel à leurs services pour l’édition 2020. La société Ateepic a dépassé son CA prévisionnel annuel dès le 10e mois d’activité ! Bravo Jean-Philippe !
Ses conseils
« Pour toutes celles et ceux qui souhaitent donner une nouvelle direction à leur carrière, je conseille de bien peser le pour et le contre et de surtout savoir s’appuyer sur son entourage. À l’époque de mon départ, j’ai eu la chance d’être soutenu à 200% par mon entourage. Ils ont été patients, à l’écoute et motivants ».
Candidat accompagné et conseillé par Laurent Bruggeman, Consultant Expert en création / reprise d’entreprise – Alixio Mobilité en Région Auvergne-Rhône-Alpes.
D’ingénieure statisticienne dans la finance, à créatrice d’une boutique de dépôt-vente.
Mon objectif était de créer un lieu de référence de la mode d’occasion à Bordeaux
Passionnée de mode depuis toujours, Safaa ne se sent plus vraiment épanouie dans son poste. Lorsque son entreprise annonce la mise en place d’un Plan de Départ Volontaire, elle saisit l’occasion de se reconvertir.
Repartir de zéro après un plan de départ volontaire
« Passionnée de mode, et avec le souhait de promouvoir un mode de consommation alternatif, un dépôt-vente de vêtements et accessoires m’est apparu comme le projet idéal. » Dans le contexte du PDV, Safaa bénéficie d’indemnités pendant un an, de la part de son ancien employeur, pour créer son entreprise et lancer son activité. Durant cette période, elle se forme aux compétences inhérentes à la gestion de son entreprise. Elle travaille la partie financière avec un comptable, le financement avec sa banque et son projet voit peu à peu le jour, se concrétisant avec la constitution d’un stock de départ et la recherche d’un local commercial. « Au final, ayant été bien accompagnée, je n’ai pas rencontré de difficultés spécifiques pour créer mon entreprise. »
D’une passion, à l’ouverture de Boucle et Prune
« Boucle et Prune est un dépôt-vente de vêtements pour Femmes et Hommes qui propose une sélection pointue de vêtements de collections récentes et de marques de référence. Mon objectif était de créer un lieu de référence de la mode d’occasion à Bordeaux. Une boutique chaleureuse, loin de l’image de la friperie, où l’on vient trouver la perle rare, vider son placard ou renouveler sa garde-robe.
Au-delà de l’accueil et de la vente, mon métier consiste également à sélectionner les vêtements qui correspondent au positionnement de ma boutique. Des vêtements qualitatifs plutôt récents, en bon état et de saison.
En tant que cheffe d’entreprise, je m’occupe également du marketing et de la communication, de la partie RH pour le recrutement de stagiaires et, bientôt j’espère, d’employés. Par ailleurs, j’organise des événements, notamment avec des influenceuses bordelaises et des créateurs positionnés sur la mode éthique ! »
L’importance de l’accompagnement
« Alixio Mobilité m’a accompagné tout au long de ma transition professionnelle. D’abord pour la formalisation de mon projet via un business plan et un plan Comptable. Puis, sur l’ensemble des étapes de la création. C’est un véritable luxe d’être accompagnée par des professionnels, cela m’a permis de structurer mes démarches et mon temps. »
Son conseil aux personnes dans la même situation
« Faites-vous accompagner par des professionnels (comptable, banque, cabinet tel qu’Alixio Mobilité) afin de structurer au mieux les différentes étapes menant à la création d’entreprise. »
Candidate accompagnée et conseillée par Marlène Lacheret, Consultante en mobilité professionnelle et création d’entreprise Alixio Mobilité dans le Sud Ouest.
J’ai fini par trouver le dénominateur commun entre mes envies et le marché du travail.
Chargée de mission corporate, Violaine a profité du PSE mis en place par son entreprise, pour analyser le marché, se former et faire une réorientation professionnelle qui correspond à ses compétences et à ses envies.
Un PSE, synonyme de bouffée d’oxygène
« Après 13 ans en postes multitâches au sein d’une belle PME dans le secteur du cinéma, j’ai saisi l’opportunité du PSE mis en place dans mon entreprise, comme une promesse de nouveau départ et l’occasion de faire un vrai point de carrière. Si l’annonce de la suppression de mon poste a d’abord été une surprise, j’avais la sensation, au fond de moi, d’avoir fait le tour de mon ancienne société et de mes missions potentielles. Cette expérience m’a permis d’approfondir mon savoir-faire en gestion d’accueil au siège et à l’international, en assistanat, en gestion des relations investisseurs et communication corporate, en gestion de projets immobiliers, en suivi de l’administration des ventes, en droit d’auteur…un parcours très riche ! Il était temps pour moi de démarrer un réorientation professionnelle.
À ma sortie des effectifs, en tant que passionnée de photo et de mise en page, j’ai décidé de me former en graphisme et design. Cette transition m’a permis de souffler et opérer un focus sur mes envies, trouver une cohérence dans mes fonctions touche-à-tout. »
Des challenges et un important travail sur soi
« Au fil des semaines et des mois, appuyée par Alixio, j’ai participé à de nombreux ateliers. J’ai pu rencontrer de nombreuses personnes fascinantes et d’une grande écoute, tant parmi les chercheurs d’emploi que parmi les consultants. J’ai notamment pu m’approprier la démarche réseau et un pitch, affirmer doucement ma confiance en moi, aller à l’essentiel, et surtout définir et appliquer mes valeurs à ma recherche d’emploi : esprit de partage, sincérité, transparence. Je dirais que, globalement, j’ai eu beaucoup de chance de passer par ce PSE ! Ma consultante Laurence Ranchon m’a régulièrement et sans relâche poussée à me réaliser, à creuser sur moi-même, plutôt que me mâcher le travail, et je l’en remercie ! »
Des résultats visibles rapidement
« Au bout de quelques mois à peine, plusieurs recruteurs m’ont proposé des offres sans que je postule vraiment. Ainsi j’ai enchaîné une belle mission d’intérim de 4 mois en droit d’auteur et missions transverses dans un grand groupe littéraire, puis j’ai signé un CDI lié à ma véritable passion professionnelle : l’Office Management.
Car en recherchant et répondant à de nombreuses offres, j’ai fini par réaliser le dénominateur commun entre mes envies et le marché du travail : le métier d’Office Manager est suffisamment exigeant et ses implications suffisamment vastes pour mon savoir-faire et mes expériences !
Aujourd’hui, j’allie les compétences que j’aime vraiment exercer à une soif d’apprendre tous les jours, au sein d’une startup dans le secteur du jeu vidéo e-sport/réalité virtuelle. Concrètement, j’assiste une direction adorable et responsabilisante, au sein d’une équipe de 20 personnes toutes plus créatives et passionnées les unes que les autres. Je suis là pour les libérer de la charge mentale que représente l’administratif, pour que les opérationnels se concentrent sur le business : je gère la mise en place de process de contrôle interne, le suivi ADV, les services généraux, la gestion des RH, les tâches liées au juridique corporate, les problématiques RSE, le tout avec une dimension internationale…Transversalité et convivialité sont les maîtres-mots. »
Son conseil aux personnes en réorientation professionnelle
« Même si vous n’avez pas encore trouvé le poste de vos rêves ou n’avez pas le diplôme adéquat, croyez en votre valeur ajoutée, en votre position de force d’offreur de service. Prenez le temps de creuser sur ce qui vous rend unique, ce que vous voulez, et ne voulez plus. C’est crucial ! Trouvez et appuyez votre identité. Misez sur la transparence : tout le monde a à y gagner ! »
Candidate accompagnée et conseillée par Laurence Ranchon, Consultante en mobilité professionnelle Alixio Mobilité dans la région Île de France.
D’employée dans l’administration bancaire à aide-soignante
« Ce que j’aime dans ce métier, c’est le contact humain, le relationnel au quotidien »
Auparavant employée dans l’administration bancaire, Nabila Rahou a été accompagnée par Alixio Mobilité dans son changement de métier, suite à la restructuration de son entreprise.
Elle nous raconte son parcours vers son nouveau métier : celui d’aide-soignante.
REDONNER DU SENS À SON TRAVAIL
Le souhait de Nabila de s’orienter vers le métier d’aide-soignante remonte à de nombreuses années mais elle n’avait pas eu la possibilité de concrétiser son projet. A la suite de la restructuration de son entreprise dans le milieu bancaire, elle décide de se reconvertir, avec le soutien de son conseiller Alixio Mobilité. Elle se lance alors dans une formation d’aide-soignante, un métier qui fait sens chez elle, et qui va lui permettre de s’épanouir.
« Ce que j’aime dans ce métier, c’est le contact humain, le relationnel au quotidien. Venir en aide à des personnes qui en ont besoin à un moment donné de leur vie me satisfait pleinement. »
CHANGEMENT DE MÉTIER : DE NOUVEAUX DÉFIS À RELEVER
Le parcours vers son nouveau métier d’aide-soignante n’a pas été simple pour Nabila, qui a dû découvrir un domaine totalement différent de celui dans lequel elle évoluait. Elle a dû s’adapter à une nouvelle organisation, se former au métier d’aide-soignante et s’intégrer au sein d’une nouvelle équipe.
« Cela m’a demandé beaucoup de travail et d’efforts tant sur le plan personnel que professionnel. »
LA CONCRÉTISATION DU PROJET
Pour atteindre son objectif, Nabila est orientée par son conseiller Alixio Mobilité vers une formation destinée à préparer le concours d’entrée en école d’aide-soignante. Le consultant en mobilité professionnelle l’accompagne activement, notamment sur les modalités administratives liées à la prise en charge financière de son année de formation à l’IFAS (Institut de Formation d’Aides-Soignants).
Après 10 mois de formation, Nabila est ravie d’obtenir son diplôme d’état d’aide-soignante. C’est le début d’une nouvelle aventure professionnelle pour la quadragénaire qui retrouve alors du sens dans son métier.
« Je travaille actuellement dans un EHPAD dépendant d’un hôpital public. Je suis en poste depuis septembre 2019 et cela devrait déboucher sur un CDI ! »
LE CONSEIL DE NABILA
« Mon conseil pour les personnes se retrouvant dans ma situation est de s’accrocher, croire en eux et en leur projet, pour ainsi atteindre leurs objectifs et pouvoir s’épanouir de nouveau dans leur vie professionnelle. »
Candidate accompagnée par Cyril VILLEROT, consultant en mobilité professionnelle dans la région Bourgogne – Franche-Comté