D’Adjointe dans une chaîne de magasins discount, à Conseillère en insertion professionnelle dans une mission locale.
J’ai appris à prendre du recul pour me lancer dans une nouvelle vie professionnelle.
Suite à la fermeture de la chaîne de magasins discount dans laquelle elle travaillait depuis 17 ans, Myriam a décidé de se repositionner professionnellement. Elle est devenue conseillère en évolution professionnelle au sein d’une mission locale.
L’opportunité d’une nouvelle vie professionnelle
Après 17 années en tant qu’adjointe dans une chaîne de magasins discount, Myriam a su transformer la contrainte, a priori, du plan de sauvegarde de l’emploi de son entreprise en opportunité pour changer de profession.
« J’ai tout de suite su que ce PSE était l’opportunité pour moi de faire autre chose. J’ai eu la chance de bénéficier d’un plan social sécurisant, aussi bien d’un point de vue financier qu’en termes d’accompagnement proposé par le cabinet Alixio Mobilité » explique Myriam.
Définir un nouveau projet professionnel
Vouloir changer de métier, c’est bien, mais pour faire quoi ? Au fil des échanges et des moments de travail avec sa conseillère Alixio Mobilité, Myriam a appris à prendre du recul pour mieux définir son projet professionnel. Elle a défini les éléments essentiels, pour elle, à intégrer dans un futur métier : le relationnel, la transmission, la pédagogie et l’aide à la personne. Après un travail de fond et de réflexion, Myriam a fini par trouver le sens qu’elle souhaitait donner à sa carrière : devenir conseillère en évolution professionnelle.
« Un jour, en discutant avec ma conseillère Alixio Mobilité, mon avenir professionnel s’est imposé comme une évidence : c’était son métier que je voulais faire ! C’était décidé, j’allais devenir conseillère en insertion professionnelle ! » se rappelle Myriam.
A la suite d’enquêtes métier, d’une période de mise en situation en milieu professionnel (PMSMP) et de beaucoup de recherches, Myriam a confirmé son choix de carrière.
Se former pour apprendre un nouveau métier
Après une formation en bureautique, elle a intégré, non sans quelques appréhensions, la formation CIP à l’AFPA de Rillieux la Pape en février 2019. A 50 ans, elle craignait de ne pas être capable de suivre des cours et d’apprendre à nouveau. Elle s’en est finalement très bien sortie ! Après une formation de 8 mois et beaucoup de travail, elle a obtenu son titre professionnel en octobre dernier.
Le début d’une nouvelle vie
En novembre 2019, Myriam a décroché un CDD de 9 mois au sein de la Mission locale de Châtillon-sur-Chalaronne, qui s’est transformé en CDI en juin dernier.
« Aujourd’hui, je suis heureuse dans mon nouveau travail. J’apprends encore mon métier, mais j’ai la chance d’être entourée par une équipe solidaire et bienveillante. Je suis très fière du parcours que j’ai réalisé. Ce projet m’a demandé beaucoup d’énergie, de remises en question et a généré beaucoup de stress, mais j’ai su relever le défi. J’ai eu la chance d’être soutenue par ma famille qui a su me laisser dans « ma bulle » tout en étant présente » conclut Myriam.
Candidate accompagnée et conseillée par Carole Laurent, Consultante en Mobilité Professionnelle Alixio Mobilité en région Auvergne Rhône-Alpes.
De Approvisionneuse dans la grande distribution, à Assistante Administrative dans une entreprise de transports.
A 50 ans, j’ai saisi l’opportunité de me lancer dans une reconversion.
Approvisionneuse dans la grande distribution, Nathalie a profité d’un plan de départ volontaire au sein de son entreprise pour changer de carrière et devenir assistante administrative.
L’opportunité de changer de carrière
Nathalie a travaillé pendant 17 ans au service Achat Approvisionnement d’un acteur majeur de la grande distribution. Lorsque son employeur a déclenché un plan de départ volontaire, elle a saisi cette opportunité pour se reconvertir et changer de carrière. A 50 ans, elle a décidé de reprendre ses études et passer un diplôme de secrétaire comptable.
S’organiser pour une recherche d’emploi efficace
Après plusieurs années au même poste, Nathalie a dû réapprendre à chercher du travail. Accompagnée par Alixio Mobilité à Bayonne dans le cadre de ce PDV, elle a pu s’appuyer sur sa conseillère. Avec son aide, elle a appris à s’organiser dans sa recherche d’emploi, notamment pour savoir où et comment postuler. Pour réussir à se vendre correctement, elle a identifié ses compétences et travaillé son discours. Cette étape lui a permis de renforcer sa confiance en elle et d’être plus à l’aise dans cette phase de recherche.
Un retour rapide à l’emploi
Isabelle, conseillère Alixio Mobilité, a épaulé Nathalie tout au long de cette période importante de changement de carrière et l’a accompagnée dans son repositionnement dans l’emploi.
« L’accompagnement par le cabinet Alixio Mobilité, et tout particulièrement celui de ma conseillère, a été déterminant pour un retour à l’emploi rapide. Je me sens chanceuse d’avoir participé à de nombreux ateliers, d’avoir été accompagnée pour ma lettre de motivation et mon CV, d’avoir été préparée aux entretiens… Isabelle a su me booster et me pousser dans mes retranchements » explique Nathalie.
Un changement professionnel épanouissant
Aujourd’hui, Nathalie est assistante administrative au sein d’un groupe italien leader dans les transports routiers et ferroviaires en Europe. Son poste consiste à seconder l’affréteur dans l’ensemble de la gestion administrative de l’entreprise. Grâce à l’accompagnement d’Alixio Mobilité, elle exerce un métier qu’elle affectionne et n’a plus peur de l’avenir.
« Je ne remercierai jamais assez toute l’équipe Alixio Mobilité pour l’aide précieuse qu’elle m’a apportée, aussi bien sur le plan professionnel, que sur le plan humain. Je ne sais pas de quoi est fait l’avenir, mais je me sens armée pour pouvoir l’affronter en toute sérénité » conclut Nathalie.
Le conseil de Nathalie
« Je conseille à toute personne qui se retrouve confrontée à un plan de départ volontaire de ne pas rester seule. Il est essentiel de se faire accompagner, de garder confiance en soi et de rester dans une démarche dynamique et positive malgré les refus et les périodes de doute. »
Candidate accompagnée et conseillée par Isabelle Rival, Consultante en Mobilité Professionnelle Alixio Mobilité en région Nouvelle Aquitaine.
De Directrice régionale dans le tourisme, à Coach praticienne certifiée
L’envie de me fixer un nouveau défi, d’élargir mes compétences professionnelles !
Directrice régionale pour une enseigne de grande distribution spécialisée dans le Tourisme, Pascale a défini un nouveau projet professionnel dans le cadre d’un Plan de Départ Volontaire et a repris ses études pour devenir coach certifiée.
L’opportunité d’une deuxième carrière
Pascale a travaillé pendant 30 ans dans le tourisme, dont 22 ans de management dans la grande distribution. « Un voyage riche de rencontres, d’échanges, d’objectifs, de challenges, de découvertes… Une expérience qui m’a fait évoluer au poste de Directrice régionale ces 10 dernières années ce qui m’a permis d’acquérir un grand nombre de compétences managériales, financières, et commerciales. » raconte Pascale.
« L’envie de me fixer un nouveau défi, d’élargir mes compétences professionnelles, de travailler en étant mon propre patron, le ressenti d’avoir fait « le tour » de mon métier , de plus être en accord avec mes valeurs personnelles, ont été les motivations essentielles à ce nouveau départ ! » Pascale a saisi l’opportunité de plan de départ volontaire mis en place par son entreprise pour entreprendre une deuxième carrière professionnelle : le coaching !
De directrice à coach !
« Le coaching , je m’y suis intéressée car j’ai souhaité continuer à être utile, à accompagner… le tout dans la bienveillance, le respect, et le non jugement. » Pour Pascale, une phrase peut résumer ce choix : Walk your talk !
Ce choix, mûrement réfléchi, l’a conduit à reprendre ses études : 12 mois d’une formation rythmée par des séminaires, des rencontres, des partages, des téléconférences et de la mise en pratique des outils de coach, du co-coaching. Une formation qui s’est conclue par la soutenance d’un mémoire et la certification reconnue RNCP, OPQF et équivalente à un master I niveau II.
« Aujourd’hui, j’y trouve de la sérénité, du bonheur, de la flexibilité au quotidien, des mises en action et de la légèreté partagée avec mes nouveaux clients.Et aussi, de la fierté. Oui, car ma clientèle se constitue sur la base du « bouche-à-oreille » !«
Pascale s’est spécialisée dans l’accompagnement des reconversions professionnelles (inspirée par la relation avec sa consultante qui l’a accompagnée dans sa propre reconversion ?) . Elle travaille aussi beaucoup sur la gestion du temps : « Combien de personnes autour de vous disent « je n’ai pas le temps de … ». Et vous, avez-vous du temps pour vous ? ». Elle travaille en fonction de la demande de ses clients aussi bien par téléphone, Skype, qu’à son propre cabinet.
Accompagnée par Alixio Mobilité durant toute cette année de formation et de transition professionnelle, les rendez-vous réguliers avec sa consultante étaient productifs et utiles selon Pascale. « L’ écoute, le respect et la bienveillance mutuelles ont été des valeurs communes que nous avons partagées. Un grand merci à Isabelle. »
Candidate accompagnée et conseillée par Isabelle Rival, Consultante en Mobilité Professionnelle Alixio Mobilité en région Nouvelle Aquitaine.
De Comptable dans la grande distribution, à Comptable-Contrôleur de Gestion dans un grand club sportif.
J’ai eu envie d’aller de l’avant pour mieux rebondir !
Comptable dans la grande distribution depuis 25 ans, Fabrice a profité du plan social de son entreprise pour rebondir et devenir Comptable-Contrôleur de Gestion au sein d’un grand club sportif.
Aller de l’avant grâce à un PSE
Après 25 ans au sein de la même entreprise, Fabrice avait fait le tour de son poste. Il ne s’épanouissait plus, malgré des missions annexes qui lui permettaient de diversifier son quotidien. « Comme beaucoup, je pensais à changer de travail avant qu’il ne soit trop tard. Mais, le quotidien et sa routine (et une certaine sécurité !) prenaient le dessus. »
A l’annonce en 2017 d’un plan social au sein de son entreprise, Fabrice a traversé plusieurs phases : surprise, déception, frustration, colère, rancœur, puis l’acceptation : « j’ai finalement accepté la situation et j’ai eu envie d’aller de l’avant pour mieux rebondir » indique Fabrice.
Un accompagnement vers la mobilité externe qui redonne confiance
Le compte à rebours était lancé. L’échéance du PSE prévue pour mai 2019, Fabrice avait 2 ans pour se préparer. Durant ces deux années, il a été accompagné par Anna, consultante en mobilité professionnelle chez Alixio Mobilité.
Après un premier échange pour faire connaissance et apprendre à se faire confiance, ils ont commencé le travail. Rendez-vous hebdomadaires, appels téléphoniques, bilan de compétences… rien n’a été laissé au hasard. « Le travail effectué par Anna a été primordial, énorme, très valorisant et enthousiasmant. Jusque-là, je percevais mon horizon professionnel comme restreint, fermé. Mon métier et mon rôle avaient été dévalorisés durant toutes ces années. Mais Anna a su faire ressortir le positif de mon expérience ; elle a valorisé toutes mes missions annexes pour mettre en avant des compétences que je ne soupçonnais pas. Et surtout elle m’a redonné confiance ! Elle a mis en avant mon savoir-être, sans négliger mon savoir-faire » explique Fabrice.
Un cheminement riche et constructif
Ensemble, ils ont envisagé différents projets professionnels. Ils ont travaillé sur le CV de Fabrice et Anna l’a épaulé dans sa préparation aux entretiens d’embauche. Ils ont ensuite resserré les champs d’investigations et Fabrice s’est focalisé sur deux pistes : continuer dans son domaine professionnel ou changer totalement de profil et s’orienter dans le recrutement et l’accompagnement de candidats.
En parallèle, Fabrice a répondu à plusieurs annonces d’emploi pour « se tester ». Il a aussitôt décroché trois entretiens. De fil en aiguilles, avec l’aide d’Anna, un entretien a matché ! Il a démarré en tant que comptable dans un grand groupe commercial. Mais, n’étant pas un pur comptable, il s’est rapidement ennuyé. Il a donc recontacté sa conseillère pour un entretien informel. Lors d’un déjeuner, il lui a exposé sa situation et ses doutes. « Sur le set de table, Anna a dressé 2 colonnes, les pour et les contre. « A toi de jouer maintenant ! » m’a-t-elle dit. A l’issue de ce déjeuner, j’avais pris ma décision : je démissionnais de mon nouveau poste » se souvient Fabrice.
Ils ont repris le travail de recherche, d’introspection, puis une nouvelle offre s’est présentée : un poste de contrôleur de gestion qui plaisait beaucoup à Fabrice. Il impliquait plus de prise de risques, mais aussi moins de routine. Et surtout, l’entreprise qui recrutait était dans un secteur que le candidat affectionne particulièrement : le sport.
Une collaboration qui a porté ses fruits
Aujourd’hui, Fabrice est Comptable-Contrôleur de Gestion dans un grand club sportif professionnel. Il s’épanouit dans ses nouvelles missions et l’ennui n’est pour lui qu’un lointain souvenir. Les journées sont bien remplies et aucune ne se ressemble.
« Je remercie Anna pour tout le travail effectué, pour son suivi et surtout pour cette relation d’écoute, d’aide et de confiance. Elle m’a littéralement remis sur les rails et m’a redonné confiance. Aujourd’hui, grâce à son aide, je n’ai plus peur de demain. Si ça ne marche pas dans mon nouveau poste, je sais que je peux rebondir. Anna a mis en avant mon savoir-être et je sais que ça représente un passeport pour la vie » conclut Fabrice.
Le conseil de Fabrice
« Je conseille cette démarche d’accompagnement à toute personne qui a un doute et qui cherche à prendre un nouveau départ dans sa vie professionnelle. »
Candidat accompagné et conseillé par Anna Borawska, Consultante en Mobilité Professionnelle Alixio Mobilité en région Nouvelle Aquitaine.
De Directeur Business Development Senior dans l’industrie pharmaceutique, à Directeur des Opérations et de la Stratégie dans une ONG à Genève
Il faut avoir envie d’oser !
Directeur Business Development Senior au sein d’un leader de l’industrie pharmaceutique, Rudi a évolué pendant près de 20 ans dans ses fonctions. Suite au Plan de Départ Volontaire mis en place dans sa société, il a souhaité saisir cette opportunité d’évolution professionnelle et de mobilité externe !
Mobilité externe : de l’industrie à l’ONG
Rudi a travaillé près de 20 ans auprès d’un leader de l’industrie pharmaceutique à Lyon. Il a évolué dans cette structure jusqu’au poste de Directeur Business Development Senior. « Jusqu’à faire prendre un virage à ma carrière » explique-t-il. Son entreprise ayant été rachetée par un groupe européen, s’il voulait continuer à évoluer dans sa structure il lui faudrait donc délocaliser son noyau familial. Loin de lui faire peur, cette opportunité lui a plutôt ouvert les yeux sur « le monde extérieur ». Si cette opportunité se présentait, alors d’autres devaient aussi exister. Il s’est donc montré ouvert à une mobilité externe. « C’était une décision pas forcément facile à prendre, mais salutaire. Aujourd’hui je suis au comité de direction d’une ONG à Genève qui fait de la recherche médicale et qui développe des traitements pour les maladies et les populations négligées. »
Un objectif différent, une même volonté
Rudi travaille aujourd’hui en tant que Directeur des Opérations et de la Stratégie de l’ONG, principalement composée de scientifiques et de chercheurs. Dans cette organisation, il s’occupe des fonctions qui permettent aux chercheurs de faire leur travail : les fonctions de business développement, finance, RH, informatique, juridique. Il est également en charge de la stratégie globale de l’organisation. « C’est un peu une synthèse de tous les postes que j’ai eu précédemment dans l’industrie que je connais le mieux : l’industrie pharmaceutique. Mais avec une finalité qui est assez différente, car l’objectif n’est pas de faire du profit mais de sauver ou améliorer la vie des patients souvent négligés par l’industrie, qui sans cela n’aurait aucune possibilité de traitement ». Dans ce nouveau poste, Rudi relève aussi de nouveaux challenges pour lui-même puisque c’est un poste de décisionnaire et de management large, au sein du Comité de direction de l’organisation.
« Il ne suffit pas de vouloir quelque chose. Il faut aussi être bien équipé et entouré pour y arriver. »
Pour opérer cette évolution de carrière, Rudi a été accompagné « Le coach m’a aidé à identifier le fait que, si je devais quitter mon employeur, ce serait probablement pour viser un poste dans une structure plus petite, plus agile, ne pas repartir dans un grand groupe, changer de dynamique, ne pas juste faire la même chose dans un environnement similaire. Je souhaitais trouver une opportunité me permettant d’avoir un poste avec plus de responsabilités, plus de prises de décisions, plus d’actions ». Après plusieurs entretiens et opportunités, celle de l’ONG s’est finalement concrétisée car elle remplissait la plupart des critères que Rudi et son consultant avaient mis en exergue. Et la « cerise sur le gâteau » : la dimension humaine de l’organisation. « Je ne l’avais pas envisagé au départ puisque je pensais au mieux rester dans l’industrie pharmaceutique. Le domaine humanitaire ne faisait pas partie de mon univers et donc du champ des possible, comme quoi on se fixe souvent ses propres limites. Ce poste allait donc au-delà de mes attentes » indique Rudi.
Le travail de fond réalisé en amont a permis à Rudi de savoir ce dont il avait besoin, envie et ainsi de mieux détecter la chance qui s’offrait à lui au travers de ce poste et ainsi de s’y investir de façon sereine. « L’accompagnement a été une manière de tester mon projet personnel et de m’assurer que je n’avais rien mis de côté, où que dans tous les cas je m’étais posé les bonnes questions, que je n’avais pas d’angle mort. Il ne suffit pas de vouloir quelque chose. Il faut aussi être bien équipé pour y arriver ».
Le petit plus ? C’est le moment où Rudi, de nature à avoir quelques doutes, a pu enfin se dire « « Ça y est, mon projet est réalisable ! »« . Lors d’un rendez-vous avec son consultant en mobilité professionnelle, celui-ci lui a indiqué avoir travaillé pour des ONG et donc avoir côtoyé certains des collaborateurs de son futur employeur. Il a pu le rassurer sur la très bonne réputation de l’ONG, connue pour être rigoureuse, avec des gens solides. En faisant un nouveau point sur le parcours et les compétences de Rudi par rapport à cette proposition, le consultant a pu le rassurer sur la cohérence de ce poste et sa capacité à relever les défis proposés.
Mobilité externe et crise sanitaire
Avec une prise de poste en tant que Directeur des Opérations il y a moins d’un an, la crise sanitaire a changé la donne. La proximité avec ses équipes a été bouleversée et la situation a été compliquée à gérer. « Il faut rester au contact très étroit avec ses équipes. Il faut avoir d’autant plus d’attention au bien-être et à la surcharge mentale. Celle de ses équipes et la sienne aussi. Car c’est un mode de fonctionnement auquel on n’est pas habitué et on a vite fait de se laisser happer par les conférences téléphoniques qui s’enchaînent. Rester assis 10 heures d’affilées derrière l’écran sans bouger. Mine de rien au bout d’un moment c’est extrêmement usant et fatiguant pour le corps et pour l’esprit. Lorsqu’on est fatigué on gère moins bien les rapports humains. Cela peut vite devenir une spirale compliquée. C’est un point d’attention. »
Un bilan positif
Aujourd’hui Rudi se sent bien dans son nouveau poste : « Je me sens légitime. Je me sens respecté. Je me sens très sollicité. Je ne me sens pas encore complètement établi dans le sens où cela fait moins d’un an et il y a eu la crise du Covid. Au niveau de mon positionnement, de mes attentes à ce poste je me sens bien et extrêmement motivé ».
Ses conseils pour opérer une mobilité externe
Il faut clarifier ses envies et ses ressources avant d’opérer une mobilité externe. Définir le périmètre des éléments, qu’ils soient professionnels ou périphériques, par rapport à la famille, à la localisation. « Je pense qu’il faut se faire aider pour arriver à définir ses souhaits, ses envies et aussi ses limitations et être aussi très lucide par rapport à cela. Le mieux me paraît d’avoir un accompagnement pour ça. Avoir une personne en face qui n’a pas d’enjeu, c’est le meilleur moyen de mettre en évidence là où on a des risques de se raconter des histoires et là où on a des vrais souhaits, envies, je pense que c’est utile de se faire coacher et de tester son projet, tester ses idées avec quelqu’un d’extérieur. »
Oser, s’ouvrir, avoir envie d’oser : « Il y a plein de choses à faire, des choses auxquelles on n’a jamais pensé car on n’a jamais été mis en situation de devoir y penser. Surtout lorsque l’on est dans des grandes entreprises, qui s’occupent plus ou moins bien de nous et quelque part un peu caché derrière la forêt de l’organisation. Quand on regarde ce qui se fait à l’extérieur, il y a plein de choses ! Si on a un peu de ressources et de volonté…il y a des choses à faire. Il ne faut pas se sentir prisonnier de là où l’on est. Il faut avoir envie d’oser. »
Candidat accompagné et conseillé par Emmanuel Girard,Consultant en Mobilité Professionnelle – Alixio Mobilité en Région Auvergne-Rhône-Alpes.
Dans le contexte actuel de déconfinement, les équipes sont présentes et s’investissent chaque jour, pour assurer des accompagnements distanciels comme présentiels, pour répondre au mieux aux souhaits de chacun de vos collaborateurs.
Nous nous engageons, dans le cadre des accompagnements présentiels, pour l’ensemble de nos clients partout en France, à garantir la sécurité de chacun au travers des différentes actions décrites ci-dessous.