Consultant en mobilité professionnelle chez Alixio Mobilité
Cyril Villerot est consultant en mobilité professionnelle en région Nord-Est. Il fait partie des équipes Alixio Mobilité depuis le tout début de l’aventure, avant même que l’entreprise prenne ce nom. Avec lui nous allons parler accompagnement collaborateur bien sûr mais surtout bienveillance et expérience.
Les candidats se posent beaucoup de questions avant de se lancer dans une reconversion totale. La meilleure récompense c’est lorsque le candidat vous dit quelques mois plus tard qu’il s’épanouit dans sa nouvelle activité.
Depuis 17 ans au service de l’accompagnement collaborateur
Cyril intègre l’entreprise il y a de ça 17 ans, à l’époque il travaille dans l’univers de la formation, il gère le recrutement de commerciaux pour des formations. C’est cette première expérience dans l’univers des RH qui le pousse à se tourner vers l’accompagnement. En 2003 il est recruté par Arcade Conseil pour accompagner les collaborateurs dans leur repositionnement dans l’emploi. Cette même entreprise deviendra quelques années plus tard…Alixio Mobilité !
En plus d’une décennie, l’accompagnement à la mobilité professionnelle a beaucoup évolué chez Alixio Mobilité
Depuis toutes ces années, Cyril a été le témoin de beaucoup d’évolutions au sein de l’entreprise : « Nous sommes devenu un grand groupe et ce qui ne change pas c’est la priorité donnée à l’accompagnement des candidats ». A force de croissance et pour être au plus près de ses clients, Alixio Mobilité a développé une présence nationale et créé des bureaux de rattachement pour que chaque consultant fasse partie d’une équipe au plus près du terrain. Aujourd’hui Cyril fait partie d’une équipe de plus de 15 personnes et c’est un point très important pour lui et pour son travail : « Depuis la création et le développement de la BU Nord-Est une vraie dynamique d’équipe s’est enclenchée. Faire partie d’une équipe est primordial pour faire des points réguliers, échanger entre collègues, s’entraider, soutenir ses collègues et leur poser des questions en retour, être en contact au quotidien ».
Les atouts d’un bon consultant pour épauler les collaborateurs accompagnés ?
Etre consultant en mobilité professionnelle est pour Cyril un métier passionnant : « la diversité des candidats accompagnés est très enrichissante, tous ont des personnalités et des projets différents, à nous de nous adapter pour les accompagner vers la réussite ». La réponse n’est pas toujours facile ou disponible, il faut savoir où la chercher et l’entraide au sein des équipes est souvent la clé ! Mais au-delà de l’importance de l’adaptabilité, pour Cyril ce qui fait un bon consultant c’est aussi la culture.
La culture générale, pour pouvoir s’adapter aux différents univers professionnels des collaborateurs accompagnés.
La culture des métiers de l’emploi, pour pouvoir aborder à la fois la création d’entreprise ou la retraite et guider les collaborateurs accompagnés dans leurs choix, puis les orienter ensuite vers un expert Alixio Mobilité de la thématique.
La culture du bassin d’emploi régional, pour permettre aux accompagnés d’orienter leurs projets afin qu’ils trouvent une pleine réussite dans leur région.
La réactivité est également un point phare pour Cyril : « Nous sommes sollicités quotidiennement pour des questions différentes auxquelles il faut répondre rapidement. La réactivité est primordiale car les candidats en ont besoin, dans la réalisation de leurs projets ou dans leurs relations aux entreprises. C’est un métier passionnant, enrichissant, dans lequel on ne s’ennuie jamais ».
Pour Cyril, l’accompagnement collaborateur ce sont aussi des rencontres humaines épatantes
» Les candidats se posent beaucoup de questions avant de se lancer dans une reconversion totale. La meilleure récompense c’est lorsque le candidat vous dit quelques mois plus tard qu’il s’épanouit dans sa nouvelle activité. » explique Cyril.
D’ailleurs, Cyril se souvient d’un accompagnement qui l’a particulièrement marqué, c’est celui d’une candidate qui s’était lancée dans une reconversion totale en passant de la grande distribution à l’industrie, en devenant usineuse sur machine à commandes numériques, un univers très différent et souvent réservé aux hommes. En ce moment, un autre accompagnement résonne pour lui, une personne assistante d’administration qui se forme pour passer un diplôme dans l’accompagnement de personnes en difficultés : « maintenant elle se réalise vraiment dans son nouveau métier ! ».
De Directrice régionale dans le tourisme, à Coach praticienne certifiée
L’envie de me fixer un nouveau défi, d’élargir mes compétences professionnelles !
Directrice régionale pour une enseigne de grande distribution spécialisée dans le Tourisme, Pascale a défini un nouveau projet professionnel dans le cadre d’un Plan de Départ Volontaire et a repris ses études pour devenir coach certifiée.
L’opportunité d’une deuxième carrière
Pascale a travaillé pendant 30 ans dans le tourisme, dont 22 ans de management dans la grande distribution. « Un voyage riche de rencontres, d’échanges, d’objectifs, de challenges, de découvertes… Une expérience qui m’a fait évoluer au poste de Directrice régionale ces 10 dernières années ce qui m’a permis d’acquérir un grand nombre de compétences managériales, financières, et commerciales. » raconte Pascale.
« L’envie de me fixer un nouveau défi, d’élargir mes compétences professionnelles, de travailler en étant mon propre patron, le ressenti d’avoir fait « le tour » de mon métier , de plus être en accord avec mes valeurs personnelles, ont été les motivations essentielles à ce nouveau départ ! » Pascale a saisi l’opportunité de plan de départ volontaire mis en place par son entreprise pour entreprendre une deuxième carrière professionnelle : le coaching !
De directrice à coach !
« Le coaching , je m’y suis intéressée car j’ai souhaité continuer à être utile, à accompagner… le tout dans la bienveillance, le respect, et le non jugement. » Pour Pascale, une phrase peut résumer ce choix : Walk your talk !
Ce choix, mûrement réfléchi, l’a conduit à reprendre ses études : 12 mois d’une formation rythmée par des séminaires, des rencontres, des partages, des téléconférences et de la mise en pratique des outils de coach, du co-coaching. Une formation qui s’est conclue par la soutenance d’un mémoire et la certification reconnue RNCP, OPQF et équivalente à un master I niveau II.
« Aujourd’hui, j’y trouve de la sérénité, du bonheur, de la flexibilité au quotidien, des mises en action et de la légèreté partagée avec mes nouveaux clients.Et aussi, de la fierté. Oui, car ma clientèle se constitue sur la base du « bouche-à-oreille » !«
Pascale s’est spécialisée dans l’accompagnement des reconversions professionnelles (inspirée par la relation avec sa consultante qui l’a accompagnée dans sa propre reconversion ?) . Elle travaille aussi beaucoup sur la gestion du temps : « Combien de personnes autour de vous disent « je n’ai pas le temps de … ». Et vous, avez-vous du temps pour vous ? ». Elle travaille en fonction de la demande de ses clients aussi bien par téléphone, Skype, qu’à son propre cabinet.
Accompagnée par Alixio Mobilité durant toute cette année de formation et de transition professionnelle, les rendez-vous réguliers avec sa consultante étaient productifs et utiles selon Pascale. « L’ écoute, le respect et la bienveillance mutuelles ont été des valeurs communes que nous avons partagées. Un grand merci à Isabelle. »
Candidate accompagnée et conseillée par Isabelle Rival, Consultante en Mobilité Professionnelle Alixio Mobilité en région Nouvelle Aquitaine.
De Directeur Business Development Senior dans l’industrie pharmaceutique, à Directeur des Opérations et de la Stratégie dans une ONG à Genève
Il faut avoir envie d’oser !
Directeur Business Development Senior au sein d’un leader de l’industrie pharmaceutique, Rudi a évolué pendant près de 20 ans dans ses fonctions. Suite au Plan de Départ Volontaire mis en place dans sa société, il a souhaité saisir cette opportunité d’évolution professionnelle et de mobilité externe !
Mobilité externe : de l’industrie à l’ONG
Rudi a travaillé près de 20 ans auprès d’un leader de l’industrie pharmaceutique à Lyon. Il a évolué dans cette structure jusqu’au poste de Directeur Business Development Senior. « Jusqu’à faire prendre un virage à ma carrière » explique-t-il. Son entreprise ayant été rachetée par un groupe européen, s’il voulait continuer à évoluer dans sa structure il lui faudrait donc délocaliser son noyau familial. Loin de lui faire peur, cette opportunité lui a plutôt ouvert les yeux sur « le monde extérieur ». Si cette opportunité se présentait, alors d’autres devaient aussi exister. Il s’est donc montré ouvert à une mobilité externe. « C’était une décision pas forcément facile à prendre, mais salutaire. Aujourd’hui je suis au comité de direction d’une ONG à Genève qui fait de la recherche médicale et qui développe des traitements pour les maladies et les populations négligées. »
Un objectif différent, une même volonté
Rudi travaille aujourd’hui en tant que Directeur des Opérations et de la Stratégie de l’ONG, principalement composée de scientifiques et de chercheurs. Dans cette organisation, il s’occupe des fonctions qui permettent aux chercheurs de faire leur travail : les fonctions de business développement, finance, RH, informatique, juridique. Il est également en charge de la stratégie globale de l’organisation. « C’est un peu une synthèse de tous les postes que j’ai eu précédemment dans l’industrie que je connais le mieux : l’industrie pharmaceutique. Mais avec une finalité qui est assez différente, car l’objectif n’est pas de faire du profit mais de sauver ou améliorer la vie des patients souvent négligés par l’industrie, qui sans cela n’aurait aucune possibilité de traitement ». Dans ce nouveau poste, Rudi relève aussi de nouveaux challenges pour lui-même puisque c’est un poste de décisionnaire et de management large, au sein du Comité de direction de l’organisation.
« Il ne suffit pas de vouloir quelque chose. Il faut aussi être bien équipé et entouré pour y arriver. »
Pour opérer cette évolution de carrière, Rudi a été accompagné « Le coach m’a aidé à identifier le fait que, si je devais quitter mon employeur, ce serait probablement pour viser un poste dans une structure plus petite, plus agile, ne pas repartir dans un grand groupe, changer de dynamique, ne pas juste faire la même chose dans un environnement similaire. Je souhaitais trouver une opportunité me permettant d’avoir un poste avec plus de responsabilités, plus de prises de décisions, plus d’actions ». Après plusieurs entretiens et opportunités, celle de l’ONG s’est finalement concrétisée car elle remplissait la plupart des critères que Rudi et son consultant avaient mis en exergue. Et la « cerise sur le gâteau » : la dimension humaine de l’organisation. « Je ne l’avais pas envisagé au départ puisque je pensais au mieux rester dans l’industrie pharmaceutique. Le domaine humanitaire ne faisait pas partie de mon univers et donc du champ des possible, comme quoi on se fixe souvent ses propres limites. Ce poste allait donc au-delà de mes attentes » indique Rudi.
Le travail de fond réalisé en amont a permis à Rudi de savoir ce dont il avait besoin, envie et ainsi de mieux détecter la chance qui s’offrait à lui au travers de ce poste et ainsi de s’y investir de façon sereine. « L’accompagnement a été une manière de tester mon projet personnel et de m’assurer que je n’avais rien mis de côté, où que dans tous les cas je m’étais posé les bonnes questions, que je n’avais pas d’angle mort. Il ne suffit pas de vouloir quelque chose. Il faut aussi être bien équipé pour y arriver ».
Le petit plus ? C’est le moment où Rudi, de nature à avoir quelques doutes, a pu enfin se dire « « Ça y est, mon projet est réalisable ! »« . Lors d’un rendez-vous avec son consultant en mobilité professionnelle, celui-ci lui a indiqué avoir travaillé pour des ONG et donc avoir côtoyé certains des collaborateurs de son futur employeur. Il a pu le rassurer sur la très bonne réputation de l’ONG, connue pour être rigoureuse, avec des gens solides. En faisant un nouveau point sur le parcours et les compétences de Rudi par rapport à cette proposition, le consultant a pu le rassurer sur la cohérence de ce poste et sa capacité à relever les défis proposés.
Mobilité externe et crise sanitaire
Avec une prise de poste en tant que Directeur des Opérations il y a moins d’un an, la crise sanitaire a changé la donne. La proximité avec ses équipes a été bouleversée et la situation a été compliquée à gérer. « Il faut rester au contact très étroit avec ses équipes. Il faut avoir d’autant plus d’attention au bien-être et à la surcharge mentale. Celle de ses équipes et la sienne aussi. Car c’est un mode de fonctionnement auquel on n’est pas habitué et on a vite fait de se laisser happer par les conférences téléphoniques qui s’enchaînent. Rester assis 10 heures d’affilées derrière l’écran sans bouger. Mine de rien au bout d’un moment c’est extrêmement usant et fatiguant pour le corps et pour l’esprit. Lorsqu’on est fatigué on gère moins bien les rapports humains. Cela peut vite devenir une spirale compliquée. C’est un point d’attention. »
Un bilan positif
Aujourd’hui Rudi se sent bien dans son nouveau poste : « Je me sens légitime. Je me sens respecté. Je me sens très sollicité. Je ne me sens pas encore complètement établi dans le sens où cela fait moins d’un an et il y a eu la crise du Covid. Au niveau de mon positionnement, de mes attentes à ce poste je me sens bien et extrêmement motivé ».
Ses conseils pour opérer une mobilité externe
Il faut clarifier ses envies et ses ressources avant d’opérer une mobilité externe. Définir le périmètre des éléments, qu’ils soient professionnels ou périphériques, par rapport à la famille, à la localisation. « Je pense qu’il faut se faire aider pour arriver à définir ses souhaits, ses envies et aussi ses limitations et être aussi très lucide par rapport à cela. Le mieux me paraît d’avoir un accompagnement pour ça. Avoir une personne en face qui n’a pas d’enjeu, c’est le meilleur moyen de mettre en évidence là où on a des risques de se raconter des histoires et là où on a des vrais souhaits, envies, je pense que c’est utile de se faire coacher et de tester son projet, tester ses idées avec quelqu’un d’extérieur. »
Oser, s’ouvrir, avoir envie d’oser : « Il y a plein de choses à faire, des choses auxquelles on n’a jamais pensé car on n’a jamais été mis en situation de devoir y penser. Surtout lorsque l’on est dans des grandes entreprises, qui s’occupent plus ou moins bien de nous et quelque part un peu caché derrière la forêt de l’organisation. Quand on regarde ce qui se fait à l’extérieur, il y a plein de choses ! Si on a un peu de ressources et de volonté…il y a des choses à faire. Il ne faut pas se sentir prisonnier de là où l’on est. Il faut avoir envie d’oser. »
Candidat accompagné et conseillé par Emmanuel Girard,Consultant en Mobilité Professionnelle – Alixio Mobilité en Région Auvergne-Rhône-Alpes.
Dans le contexte actuel de déconfinement, les équipes sont présentes et s’investissent chaque jour, pour assurer des accompagnements distanciels comme présentiels, pour répondre au mieux aux souhaits de chacun de vos collaborateurs.
Nous nous engageons, dans le cadre des accompagnements présentiels, pour l’ensemble de nos clients partout en France, à garantir la sécurité de chacun au travers des différentes actions décrites ci-dessous.
De Responsable régional BtoB à Co-gérant d’une agence de communication
Ce qui était une passion à l’époque est devenu aujourd’hui mon métier !
Responsable Régional dans un univers dédié aux professionnels, Jean-Philippe a profité d’un plan de départ volontaire dans son entreprise pour faire de sa passion son nouveau métier. Il est aujourd’hui co-gérant d’Ateepic – Laboratoire d’idées, agence de communication dans la région de Clermont-Ferrand. Récit d’une reconversion atypique !
Un nouveau métier sur-mesure
« Depuis tout petit, j’ai une attirance pour la publicité, l’image, et la communication en général. Designer de formation, j’ai rapidement « testé le terrain » en m’installant autoentrepreneur dans le domaine, en parallèle de ma carrière dans la grande distribution. » Jean-Philippe élargit, avec les années, son réseau dans ce secteur et sur le chemin, est amené à faire de belles rencontres, dont celle qui est aujourd’hui son associée ! « On savait où on allait et dans quelle direction on voulait avancer ! Forte d’une expérience de plus de 25 ans dans des agences importantes, elle m’a apporté l’expertise qui me manquait. Nous basons aujourd’hui notre association sur une forte complémentarité » précise-t-il.
Un changement de cap
« Mon entourage a également joué un grand rôle dans mes choix ! Conscients d’une lassitude grandissante dans le poste que j’occupais, ils ont participé grandement à ma prise de décision. » Depuis ce changement de cap, le nouveau métier de Jean-Philippe consiste à accompagner les entreprises et les professionnels dans leur communication. Qu’elle soit à destination de leurs clients ou de leurs collaborateurs. En print (documents papiers) ou en digital (sites web, réseaux sociaux…). « Ce que je préfère, c’est accompagner des entreprises en création, car nous avons le sentiment de nous associer concrètement aux projets de nos clients. Nous devenons acteurs de leur succès. Du naming, en passant par la création du logo, des éléments d’identité visuelle, cartes de visite, site internet et documents commerciaux, nous sommes présents dans toutes les étapes. » Ce qui était une passion à l’époque est devenu aujourd’hui son métier ! Passionné de photographie depuis de nombreuses années, il peut également proposer cette prestation complémentaire à ses clients (photos d’architecture, packshots, portraits…).
Se questionner et être accompagné avant d’agir
« Alixio Mobilité m’a aidé à me poser les bonnes questions, même celles qu’on n’a pas forcément envie de se poser quand on est d’un naturel fonceur et qu’on a pris notre décision. C’est important d’avoir un avis extérieur ». Conscient de ses atouts et à l’aise avec son projet, Jean-Philippe a un profil créatif « par définition, tout ce qui concerne les chiffres et la compta, ça m’ennuie ». Grâce à cette période de transition, et en étant bien accompagné, il a réussi à se poser les bonnes questions, à prendre en compte les impondérables et à savoir y faire face. « Aujourd’hui, j’ai mûri sur ces points et le fait de devenir entrepreneur implique une palette de responsabilités auxquelles on ne pense pas forcément en décidant de faire le grand saut ».
Un pari gagnant !
Quelques mois après le lancement de leur activité, Jean-Philippe et son associée ont remporté la consultation pour réaliser toute la communication visuelle de la foire internationale de Clermont Ferrand. Les organisateurs ont été tellement satisfaits du travail réalisé qu’ils ont décidé de faire directement appel à leurs services pour l’édition 2020. La société Ateepic a dépassé son CA prévisionnel annuel dès le 10e mois d’activité ! Bravo Jean-Philippe !
Ses conseils
« Pour toutes celles et ceux qui souhaitent donner une nouvelle direction à leur carrière, je conseille de bien peser le pour et le contre et de surtout savoir s’appuyer sur son entourage. À l’époque de mon départ, j’ai eu la chance d’être soutenu à 200% par mon entourage. Ils ont été patients, à l’écoute et motivants ».
Candidat accompagné et conseillé par Laurent Bruggeman, Consultant Expert en création / reprise d’entreprise – Alixio Mobilité en Région Auvergne-Rhône-Alpes.